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1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 13:24

Ce n’est pas la première fois que les jardiniers adeptes du jardin naturel sans pesticides ont recours aux insectes ou animaux pour éviter des méthodes de culture préjudiciables à l’environnement. Après les coccinelles asiatiques introduites dans nos jardins pour lutter contre les attaques de pucerons, voici un autre auxiliaire que l’on propose d’introduire en quantité dans les jardins, non pas cette fois pour lutter contre des prédateurs mais pour favoriser l’aération du sol et éviter d’avoir recours au labour qui, on le sait, n’est pas une bonne technique de culture dans un jardin naturel. Le compostage à même le sol sans retourner la terre est la meilleure méthode et nombre d’agriculteurs voyant leur terre s’appauvrir  à force d’être retournée et saturée de pesticides commencent à remettre en question ce mode de culture et à s’intéresser à la technique du BRF déposé sur le sol pour reconstituer un humus naturel. Il y a cependant un inconvénient à cette technique, c’est le tassement du sol qui, à la longue pourrait nuire au bon enracinement des plantes. Un agriculteur a donc eu une idée qui peut être utilisée aussi bien dans un petit jardin que sur une terre agricole : il s’agit de l’introduction massive de taupes, qui, on le sait, n’ont pas leur pareil pour creuser des galeries dans le sol, ce qui contribue à l’aérer et à le drainer. Si cette idée fait son chemin, nous verrons sans doute bientôt des élevages de taupes et même des taupes à la vente dans les jardineries !

 

Ci-dessous: galeries de taupes dans mon potager.

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 16:25

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Au jardin, rien ne se perd, tout se transforme. Le bois de la taille des arbres est un matériau précieux pour un jardinier soucieux de préserver son environnement. Rien ne doit se perdre, tout peut être recyclé.

 Quelques belles journées en janvier ont permis de commencer la taille des arbres, arbustes et le nettoyage des rosiers. Le plus gros travail n’est pas la taille elle-même mais le ramassage des branchages et leur broyage. Les branches les plus grosses sont coupées à la tronçonneuse pour le bois de chauffage; du petit bois est aussi mis de côté pour la cheminée et le barbecue. Les branches rectilignes serviront de tuteurs à tomates, les plus souples feront des arceaux ou des supports pour les dahlias. Ce qui est trop petit et biscornu sera broyé pour le paillis sous les arbustes. Le jardinier du village allait porter à la déchetterie de longues tiges souples de peuplier. Elles seront  idéales pour réaliser quelques bordures tressées et je rends service en les récupérant.

Il faut savoir qu’ici, les entreprises de jardinage payent pour pouvoir déposer leurs déchets végétaux à la déchetterie.

Les meilleurs bois pour le tressage sont le châtaignier et l’osier. Dans mon coin du Tarn et Garonne ces deux essences sont malheureusement assez rares. Mes bordures seront sans doute moins solides mais le matériau ne m’a rien coûté. Mes bordures précédentes étaient en châtaignier et n’ont tenu que trois ans. Celles-ci ne feront peut-être qu’une saison ou deux. Une bordure de 6m m’a demandé 3 heures de travail. Le plus long n’est pas le tressage mais  le transport des tiges et leur sélection.

Pour un meilleur résultat, planter un bâton en place tous les 40 cm et tresser sur place en plaçant deux tiges à chaque rang. Le tressage en place évite l’usage de clous ou de fil de fer et demande moins de travail. Lorsque la bordure vieillit et se détériore, aucun clou ne risque de se retrouver sous les roues du tracteur tondeuse ou dans le pied du jardinier !

 

Les bordures en branches tressées était déjà utilisées au Moyen-Age pour structurer les jardins de simples. En fait, il semble que l’on donne abusivement aujourd’hui le nom de plessis à ces structures. Aucun de mes dictionnaires et encyclopédies ne lui donne ce sens. Par contre, en Normandie où le plessage était pratiqué, le « plessis » désignait un terrain enclos d’une haie plessée, c’est à dire dans laquelle les branches extérieures étaient ramenées vers le milieu et entrelacées de façon à obtenir une clôture impénétrable pour le bétail.

 

Une autre solution pour des bordures solides et esthétiques: la terre cuite. J’ai récupéré ici des bordures anciennes en terre cuite. Elles sont grossières et irrégulières mais c’est ce qui fait leur charme.

 

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 00:11

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Tel est pris qui croyait prendre. L’épouvantail du jardin supposé éloigner les merles des framboises me fait sursauter chaque fois que je traverse le jardin. Quant aux merles, ils sont peut-être moins bêtes que l’on pourrait penser et en tout cas ils sont observateurs. Le stratagème a bien fonctionné les 15 premiers jours, ce qui n'est pas si mal, mais, habitués à cette silhouette immobile, ils sont devenus plus téméraires. Qui a faim n’a peur de rien!

 

Pour faire un épouvantail , utiliser 2 bambous croisés (pour les bras et les jambes) et un pot de fleurs en plastique renversé pour la tête. Deux pièces brillantes collées à la place des yeux rendront l'épouvantail encore plus épouvantable!

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 21:10

Comment peut-on savoir si une glycine vient de Chine ou du Japon ? Si elle s’enroule autour de son support dans le sens des aiguilles d’une montre, il s’agit d’une glycine du Japon.

 

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 La beauté des fleurs de glycine a inspiré de nombreux artistes.

Ci-contre, un vase au décor de fleurs de glycine créé par le grand maître verrier de l'Art Nouveau, Christian Désiré à la verrerie de Meisenthal en 1895.

 

Ce vase est exposé au musée "Kunstgewerbemuseum" de Berlin.

 

Quelques conseils de culture et de taille: 

J’ai choisi de conduire ma glycine ‘Violacea Plena’ encore appelée ‘Double Black Dragon’ en arbre. Tout d’abord enroulée autour d’un piquet métallique, je l’ai ensuite taillée régulièrement en parapluie. Deux fois par an, lorsque ses pousses prennent trop de longueur, je la taille ( je coupe tout simplement toutes les branches à la longueur voulue). Je supprime aussi toutes les tiges qui partent vers le bas et celles qui se reforment sur le tronc principal. La glycine a toujours tendance à s’affaler. Il faut donc couper de préférence avant un bourgeon ou un rameau orienté vers le haut. Il m’a fallu attendre cinq ans avant de parvenir à la faire fleurir. Ma terre était trop riche alors qu’il semble que la glycine doive souffrir pour fleurir. J’avais lu que, dans ce cas, couper une de ses racines pouvait l’aider à fleurir. Cette recette a bien marché. Depuis, elle fleurit généreusement chaque année.

 

 

 

 

 

 

 

Attention cependant à ne pas planter votre glycine trop près d’une façade. Ses racines sont d’une puissance redoutable.DSC05479-copie-1.JPG 

 

 

 

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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 17:53
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Le jardin est le terrain de jeu idéal de l’enfant. Il y apprend la vie, observe les animaux, écoute les bruits de la nature, touche les matières qui la composent. Le développement des sens y est exacerbé. Mais c’est aussi, malheureusement, un lieu de tous les dangers. Il y fait ses premières chutes, se pique les doigts aux rosiers, s’égratigne et se coupe, peut y manger des baies toxiques et risque de tomber à l’eau si le jardin possède un bassin ou une mare. Pour attirer l’attention des enfants sur ce dernier danger, voici une idée : noyer le jardinier ... enfin, faire comme s’il s’était noyé, en s’approchant trop près de l’eau ! Histoire sans paroles, qui peut être plus efficace que de longs discours et qui, avec humour, alerte sur les dangers de l'eau.

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 22:24

Après les jonquilles, ce sont les pruniers en fleurs et les tulipes qui éclairent le jardin. Aux tulipes, succéderont les iris de hollande et les jacinthes sauvages. Composer un parterre de fleurs à bulbes n’est pas si évident. La principale difficulté est la conservation des bulbes après la saison. Pour une grande surface, il est impensable de lever les bulbes chaque année. Dans mon jardin un peu sauvage, les campagnols et les mulots sont nombreux et très friands des bulbes de fleurs. Pour en avoir fait l’expérience une fois, je n’ai jamais recommencé à planter mes bulbes sans les protéger. Ceux-ci sont protégés soit par un grillage, soit plantés dans des pots enterrés. La technique du pot a de gros avantages : elle permet de retrouver facilement les bulbes et de récupérer plus facilement leurs petites bulbilles. L’autre difficulté est d’ordre esthétique. Comment donner à son parterre un aspect naturel ? Tout d’abord, il faut prêter garde aux couleurs et à la disposition. Une alternance de tulipes jaunes et rouges bien alignées est à proscrire. Choisir plutôt des tons pastels et des variétés de tulipes botaniques. Laisser quelques fleurs sauvages s’installer parmi elles, comme le Bouton d’or, le Myosotis, la Véronique, la Cardamine, l’Herbe-à-Robert ou le Pavot. Après la floraison ,attendre que le feuillage soit entièrement fané et désséché et passer la débroussailleuse à fil.


Photo ci-dessus:
- tulipes botaniques Greigii 'Chaperon Rouge'
- tulipes Triomphe 'White Dream'

Photo ci-contre:
tulipes 'Blue Diamond'






































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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 23:18

« Bêcher ou ne pas bêcher, telle est la question ». Il s’agit d’un article très pertinent signé Alain Lompech dans le journal " Le Monde" du dimanche 1er et lundi 2 mars. Il est vrai que les pratiques changent et il est judicieux de se poser vraiment la question. Entre le vieux jardinier adepte du double bêchage et le jardinier moderne préférant ne pas retourner la terre pour ne pas enfouir les matières organiques, lequel a raison ? L’article ne tranche pas (c’est le cas de le dire !) et, s’il reconnaît le bien fondé des recommandations du jardinage écologique et l’inutilité du double bêchage, il dénonce par ailleurs l’utilisation de bâches, cartons ou tout autre « attirail écologiquement correct » mais parfaitement inesthétique.

Mon point de vue de jardinière confrontée à la difficulté d’entretenir un terrain d’un hectare et demi dont un tiers environ est consacré au jardin, avec deux mares naturelles, un ruisseau et, en prime, un terrain argileux lourd et humide où le chiendent règne en maître, penchera forcément en faveur du paillage mais avec des réserves. L’expérience m’a montré en effet que toutes les zones du jardin ne sont pas à traiter de la même façon. Tous les endroits du jardin où un effet de sous-bois a été recréé avec le dépôt régulier de déchets végétaux broyés sont exempts de chiendent. Par contre, les orties s’y installent volontiers, ce qui n’est pas trop gênant et ce qui favorise la reproduction d’un bon nombre de papillons. Dans le potager, la terre qui a été amendée au fil des années, est devenue riche, friable et ne nécessite qu’un binage. Les végétaux sont laissés à même le sol pendant l’hiver. Cela ne fait pas très soigné mais cela s’avère très efficace. Par contre, les plates-bandes de vivaces en plein soleil posent davantage de problèmes. Les mauvaises herbes, dont le redoutable chiendent, s’y installent facilement car le sol n’est jamais travaillé et devient compact. Il est indispensable de « déménager » les plantes environ tous les trois ans pour bêcher le sol en profondeur afin de l’aérer et de le débarrasser du chiendent, des graminées, de la potentille rampante, et autres mauvaises herbes tenaces dont les racines se mêlent intimement à celles des plantes cultivées.

Quant à l’utilisation de bâches, j’y suis favorable. Elles m’ont prouvé leur efficacité. Etalées sous les arbustes, elles permettent de conserver l’humidité du sol l’été et évitent la prolifération des mauvaises herbes. Elles disparaissent sous les couches de végétaux broyés que j’y dépose d’une saison à l’autre. Au bout d’un an, les bâches sont enlevées, laissant le sol propre et recouvert d’une couche de bon terreau.

 

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 15:37

Il est temps de commencer les semis au chaud à la maison. Voici quelques astuces .Il n’est pas nécessaire d’avoir un grand espace mais il est indispensable de disposer d’une fenêtre si possible avec un bon ensoleillement et d’un abri à l’extérieur pour sortir les semis après repiquage.. Inutile de disposer d’une serre. Il suffit de se procurer en grande surface des bacs de rangement en plastique transparent et de récupérer des petits récipients ( bacs à glace, barquettes d’emballage etc...). Pour le repiquage, se procurer des petits godets ou demander à un pépinièriste des plaques usagées prévues à cet effet.

Les étiquettes sont réalisées en découpant les couvercles des bacs à glace ou d’autres emballages en plastique rigide. Prévoir un marqueur indélébile PENTEL N50 . L’étiquetage rigoureux des semis est indispensable et doit se faire au fur et à mesure.

 

 

 

 

 

 

 

 Mettre 3 cm de bon terreau au fond de chaque récipient, bien humidifier, semer puis recouvrir les graines d’une fine couche de terreau (très fine si la graine est fine), tasser un peu et réhumidifier avec un vaporisateur. Disposer les récipients dans les caisses bien fermées pour maintenir l’humidité et la chaleur et surveiller la levée. Dès que les plantules ont 2 feuilles formées on peut les repiquer

. Il faut être un peu habile pour ne pas casser les jeunes racines. Dès que les plantules auront pris un peu de vigueur et que les racines commenceront à déborder de leur godet, il faudra prévoir de les repiquer à nouveau dans des récipients plus grands et de les sortir dehors (si ce sont des vivaces), sous un abri. Attention, à ce stade, cela demande du temps et de l’espace !

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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 18:44

La vente de sachets de graines en jardinerie est un marché juteux. Le prix des graines a explosé ces dernières années, dépassant parfois les 3 euros pour un sachet ne contenant pas grand-chose. Quand je dis « pas grand-chose » c’est même peut-être rien si les graines en question ont peu de chances de germer. Rien n’est plus aléatoire en effet. Certaines graines ont des goûts difficiles( temps de germination parfois long ou nécessité de passer par une période de froid, certaines aiment être recouvertes, d’autres pas...) et encore faut-il qu’elles n’aient pas perdu leur capacité germinative. Des sachets exposés longtemps au soleil ou à l’humidité sur un stand de marché par exemple peuvent avoir souffert. Aucun consommateur de toute façon n’ira s’en plaindre : si des graines ne germent pas c’est peut-être tout simplement que l’on n’a pas la main verte et que l’on s’y est mal pris.

Ce qui est surtout à dénoncer, c’est l’image mirobolante qui orne le sachet. Il m’est arrivé plus d’une fois de réussir le semis, de voir la plante fleurir et là, oh déception !

C’est le cas par exemple de la Malva ‘magic Hollyhock’ de chez « Thompson et Morgan », de l’Amarante ‘queue de renard’ de chez « Le Paysan » , du Reseda odorant de chez « Vilmorin » pour n’en citer que quelques unes.

Mes astuces pour faire des économies sans se priver de fleurs :

- acheter de préférence des graines de variétés non hybrides et récolter ensuite  ses propres graines.

- acheter un plant unique d’une variété (non hybride), attendre que la plante « fasse ses  graines » et les ressemer.

- acheter des sachets de graines à plusieurs avec ses amis et voisins et en partager le contenu

- rejoindre une association ( elles organisent en général des journées d’échanges de plantes et de graines, et vous donnent aussi l’occasion de faire bien d’autres choses interessantes).       

 

Quelques graines faciles que j’ai testées :

Annuelles à semer en godet au chaud dès le début de Février :

Tithonia (Vilmorin) - Ageratum ‘White Blue Capri’ (Mr Fothergill) - Ageratum ‘tetra bleu’ ( Clause)

Annuelles à semer en place :  Lin rouge à grandes fleurs (Royalfleur) – Rose d’Inde (Blainco) -  Cosmos (Feuillance)

Vivaces et bisannuelles : Lysimachia atropurpurea (Thompson et Morgan) – Cerinthe ‘major purpurea’ (Mr Fothergill) – Echinacea purpurea (Unwins) – Helenium ‘Autumn Lollipop’ (Thompson et Morgan) – Eschscholzia (Thompson et Morgan) – Agastache (Vilmorin)

 

 




























Summary : Flower seeds are more and more expensive and it often happens that you fail to get the flowers you were dreaming of. The pictures on the bags are sometimes fantastic but far from reality. It also happens that the seeds are unable to germinate. You won’t complain...it is your fault : you are a bad gardener !

A few hints to save money and have lots of flowers anyway.

-          buy non hybrid plants or seeds and collect your own seeds every year.

-          share seed bags with friends

-         join an horticultural society and swap your seeds.

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 22:59
Le malheur des uns peut faire le bonheur des autres. Je propose donc ici une astuce pour réussir la plantation d'une clématite, ayant moi même mis un certain temps avant de comprendre pourquoi mes clématites ne duraient jamais plus que le temps d'une saison.
Tous les bons livres de jardinage expliquent que la clématite aime avoir le pied à l'ombre et la tête au soleil, qu'elle aime un sol profond, léger, fertile et frais mais bien drainé. Il est recommandé de mettre une couche drainante de gravillons au fond du trou de plantation et de coucher la motte lors de la plantation pour favoriser la formation de nouvelles racines...
Oui mais... il faut penser aux taupes qui, d'après mon expérience semblent adorer traverser les racines de clématites.
Alors voici ma parade. J'enterre la clématite dans son pot de plastique en ayant pris soin de découper le fond. Le coeur des racines est ainsi protégé de toute intrusion et cela n'empèche pas les racines de la clématite d'aller s'installer plus profondément dans le sol.


 En photo:  la clématite "The President", installée depuis plus de cinq ans derrière l'abri à outils, en compagnie d'un abutilon megapotanicum qui supporte, lui aussi, depuis plusieurs années,  les gelées sévères de l'hiver et le voisinage des taupes.
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  • : Le blog de claude Lasnier
  • : Jardiner bio: comment et pourquoi. Tous les plaisirs qui en découlent:culture,observation de la nature,exercice,détente, santé, cuisine
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  • Très active, touche à tout. Ex- cavalière (randonnée),aimant la nature. S'est découvert une autre passion: le jardinage. Passionnée aussi par son métier.

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Un jardin botanique respectueux de l'environnement. Refuge pour les animaux, insectes et papillons. Ce blog est garanti sans publicité. Textes et images ne sont pas libres de droits.

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Qui suis-je? Claude, professeur de l'E.N., jardinière le week-end. Je me suis lancée il y a 20 ans dans la création d'un jardin naturel à partir d'un grand champ labouré d'un hectare où il n'y avait pas grand chose mais l'essentiel: une vieille grange, 2 arbres centenaires, un ruisseau et une mare. Il y a 7 ans, j'ai fait construire ma maison dans mon petit paradis et je partage la vie des animaux qui y ont trouvé refuge.

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