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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 17:58

Vous l’avez sans doute remarqué vous aussi, il ne se passe pas un jour sans qu’une émission de radio, de télévision ou un article de journal ne parle d’environnement, d’écologie, de protection de la flore et de la faune. C’est le nouveau sujet qui passionne, et pour cause : nous prenons enfin conscience de l’importance du sujet pour notre santé, voire notre survie. J’entends aujourd’hui que l’on se rue sur les légumes bio et que les agriculteurs ont enfin pris conscience du danger de l’usage des pesticides aussi bien pour leur propre santé que celle de leur entourage et celle de leur environnement. C’est une révolution.

. Le concept même du jardin évolue, privilégiant le naturel et le respect des plantes sauvages. Les précurseurs dans ce domaine sont les anglais. Le jardin à l’anglaise, bien que très élaboré dans sa structure, s’inspire du jardin naturel. Fleurs sauvages et herbes folles sont les vedettes et retrouvent leur lettres de noblesse.

Les jardiniers talentueux de WISLEY près de Londres nous prouvent que l’on peut créer des espaces de grande beauté avec des plantes toutes simples et des graminées. Dans ce jardin, rien n’est dû au hasard mais on pourrait le croire.

 

Summary : You may have noticed that ecology is a main topic in the media. People feel more and more concerned by the protection of our fauna and flora and are more and more conscious that pesticides are dangerous for our health. It is a revolution. Even the concept of the garden is changing with a taste for natural looking gardens that respect the wild life. The English are the best gardeners in this genre. They can make elaborate flower arrangements with ordinary wild plants. That is what the talented gardeners of Wisley have managed to do. In this garden, nothing is a matter of chance but you could think it is.

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 16:19

Une exposition extraordinaire de photographies se tient actuellement dans la « Nash Conservatory » des jardins de Kew à Londres. Ces photographies ont pour thème les végétaux et nous montrent grâce à de puissants microscopes ce que nous ne pouvons pas voir à l’oeil nu. Le résultat est fascinant de beauté. La nature est un artiste de grand talent. Le photographe Rob Kesseler l’est également en parvenant à capturer dans son objectif ces merveilles du monde végétal que sont les feuilles, les graines ou le pollen. Des ouvrages contenant ses photographies viennent d’être édités.

Pour en savoir plus : www.kew.org/trees
Cliquer sur « What’s on » puis sur « Canopy exhibition ».
Profitez en pour voir les arbres de ce superbe jardin en cliquant sur les points qui les situent sur le plan.

 L’image ci-dessous, bien que de médiocre qualité, donne un exemple du type de photos présentées.
Elle représente des grains de pollen de l’Acacia x veitchiana ( Mimosoideae) agrandis 1500 fois.

Profitons en pour réviser un peu. Un pollen est constitué de plusieurs cellules qui jouent un rôle dans la fécondation des organes femelles. Ces cellules sont enfermées dans une enveloppe constituée de deux parties : l’intine et l’exine. L’exine, en jaune sur la photo est une substance extrêmement résistante  (c’est grâce à la protection de cette substance imputrescible que l’on peut retrouver et identifier des grains de pollen lors de fouilles archéologiques).

Chaque enveloppe comporte des ouvertures en forme de sillons, très nets sur la photo, qui permettent le passage du tube pollinique lors de la germination du pollen sur la fleur femelle.

Pour conclure, savez vous comment se nomme la science qui étudie les pollens ? La palynologie. Je l’apprends moi-même en rédigeant cet article, rassurez vous !

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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 16:47

Retour sur terre et reprise du travail après quelques vacances outre-Manche et la découverte de la nouvelle attraction des jardins de Kew à Londres : une passerelle permettant de frôler la cime des arbres et de profiter d’une vue plongeante sur une partie du jardin et la serre tempérée, au delà du jardin méditerranéen. Conçue par Marks Bartfield Architects, cette passerelle s’intègre parfaitement au terrain et à l’environnement. Les arbres ont été respectés et les colonnes de béton qui s’enfoncent dans le sol à une profondeur égale à la hauteur, soit 18 m, respecte leurs racines. Le spectacle des arbres vus du ciel est magnifique et les sensations interessantes : une impression de sécurité mélée à un léger vertige dû à la légère souplesse du sol et à la transparence des parois de protection. Une exposition en sous sol à l’entrée du site, permet de façon très originale et très ludique de découvrir, au ralenti et grâce à des maquettes, le mode de déambulation de certains insectes familiers comme le mille- pattes, la fourmi, le cloporte ou l’araignée. Ces attractions ont le grand mérite d’attirer plus d’enfants dans ces superbes jardins dont la visite est passionnante à tous points de vue aussi bien pour les grands que pour les petits.

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22 août 2008 5 22 /08 /août /2008 17:52

Petite balade le 17 août 2008 au parc ornithologique du Teich, dans le delta de la Leyre qui se jette dans le bassin d’Arcachon ( à environ 3 heures de route de mon jardin).
J’en garde un souvenir inoubliable.
La possibilité de voir les oiseaux de près dans un parc public de cette envergure est la prouesse que les concepteurs du parc ont brillamment réalisée. Plus de 6 km de sentiers parfaitement entretenus et bordés de haies basses permettent aux visiteurs de traverser cet espace naturel sans déranger les oiseaux. De très nombreuses cabanes d’observation, placées aux endroits stratégiques, équipées de sièges et de panneaux d’information pour identifier les oiseaux, permettent de rester de longues minutes à observer et photographier sans être vu. Des animateurs circulent dans le parc, répondent à vos questions, donnent des conseils et vous aident à identifier les oiseaux. Des séjours de découverte sont également possibles pour les scolaires qui sont alors pris en charge par leurs professeurs et les animateurs du parc. Pour conclure, je n’ai qu‘un mot : bravo !

 Photos ci-dessous :
1- La Lagune « Claude Quancard » (du nom du créateur du parc) – Vers 18h, les oiseaux reviennent du bassin d’Arcachon pour se réfugier ici à cause de la marée montante. Dans le lagune, le niveau d’eau reste stable.
2 et 3 - Espace nommé "Le Grand Large".
4, 5 et 6 - La Vasière des Spatules. Une cabane particulièrement bien placée m’a permis de photographier de près un héron bihoreau au milieu des nénuphars.

 

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17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 14:32

Le jardin de Clarisselles ferme pour quelques jours, le temps de trouver la cause de la panne d'internet qui a rendu ce blog muet depuis quelques jours et aussi parce que la jardinière a besoin de souffler un peu. Pendant ce temps, le jardin vit sa vie, sans arrosage, sans jardinier, sans personne pour déranger les oiseaux. Les ronces vont s'en donner à coeur joie et le jardin sera une véritable jungle. Il faut juste s'assurer que la débroussailleuse sera opérationnelle au retour! Bonnes vacances à tous et à bientôt.

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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 17:59

Que fait un jardinier quand il est en vacances ? C’est plus fort que lui, il va visiter d’autres jardins et voir ailleurs ce qu’il n’a pas chez lui !

Donc... le chemin des vacances passait par Brest et son Conservatoire Botanique.Le Conservatoire Botanique de Brest fait partie d’un réseau de conservatoires mis en place en 1988 par le Ministère de l’Environnement pour sauvegarder les espèces végétales menacées.

Le site d’une ancienne carrière à Brest a été transformé en un immense vallon de 40 ha constitué d ‘un jardin public et d’un conservatoire qui occupe 23 ha avec des serres d’exposition et de multiplication.Cet endroit bénéficie de conditions climatiques idéales, avec des températures comprises entre 4° et 20° et une pluviométrie très favorable.

 Une équipe de scientifiques assure la mission d’entretenir et de multiplier une importante collection de plantes en voie de disparition provenant non seulement du Massif Armoricain mais aussi de toute l’Europe et des îles du monde entier. Les plantes menacées sont multipliées pour être envoyées vers d’autres conservatoires, jardins botaniques ou sites naturels d’origine.

Sa mission est également internationale et s’inscrit dans le cadre des programmes internationaux de préservation des milieux naturels et des espaces menacés.
Inutile de dire que je ne connaissais aucune des plantes exposées, dont certaines ont littéralement disparu de leur habitat d’origine. Ce fut une visite passionnante, instructive et pleine de surprises.

 L’une de ces surprises fut cet « Aristolochia gigantea » originaire du Brésil (photo ci-dessous).

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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 18:06

Ma visite au potager du roi Louis XIV à Versailles à la fin du mois d’août fut un moment inoubliable. J’achevais juste la lecture du livre « Monsieur le jardinier » de Frédéric Richaud (Ed. Grasset) et cette visite bien sûr s’imposait  comme une illustration en marge d’un texte.

 Début de la visite en compagnie d’un guide. Une demi- heure à arpenter les allées d’arbres fruitiers parfaitement alignés, les rangs de fraisiers sur des andains rectilignes irréprochables, les parterres colorés remarquablement organisés. Ce jardin est sans conteste un lieu magique, non seulement par son histoire mais aussi par l’ambiance qui y règne.

 

On entre dans ce jardin comme on entre dans un monument. Le recueillement s’impose, le silence et la réflexion. La curiosité aussi,  de tout voir, de noter les différentes variétés de ce jardin si riche du point de vue botanique.  Petit à petit, ce fut plus fort que moi, je me suis détachée du groupe pour regarder d’un peu plus près les vivaces et plantes aromatiques au milieu du fouillis des plates-bandes en fin de floraison. Puis, en essayant de retrouver mon groupe, j’ai fini par franchir le grand mur là-bas, tout au fond du jardin.


Et là, ce fut un autre enchantement. Un fouillis inextricable, de l’herbe folle, des vivaces en liberté.. J’étais en fait dans l’espace expérimental des élèves de l’Ecole Nationale des Architectes Paysagistes. Une jeune élève tout juste rentrée de vacances ( nous étions la dernière demaine d’août), son petit sac à la main, arpentait l’espace abandonné d’un air perplexe, essayant peut-être de retrouver au milieu des grandes herbes la trace de quelque plantation qu’elle avait faite avant les congés.

 

Elle est là, la réalité du jardin. Le jardinier est un chef d’orchestre. S’il s’absente, c’est la cacophonie. La nature a vite fait de mettre du désordre même au milieu du jardin du Roi.

C’est bien sûr anecdotique et je trouve excellente l’idée d’avoir installé cette école en ce lieu séculaire. Une visite très instructive et passionnante.

 

 

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9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 15:27

Sur les traces de Monet et son jardin, et suite à ma visite à Giverny ( voir mon article dans la catégorie « Le jardinier voyageur »), mes pas m’ont conduite aux jardins des Etablissements botaniques Latour Marliac près de Temple-sur-Lot à environ 30 km au nord d’Agen  ( 47).

Le Guide des jardins en France aux Editions Ulmer classe le lieu comme  interessant (mérite la visite lorsqu'on est dans la région), non seulement par le contexte historique ( Monet venait y acheter ses nénuphars) mais par son intérêt botanique ( collection nationale de nénuphars) et l’attrait de son jardin d'eau qui est décrit comme "imitant celui de Monet à Giverny".

La déception a été d’autant plus grande que le jardin a le label « Jardin Remarquable ».


J’avais prévu l’après-midi de ce dimanche 4 mai 2008. Une demie-heure a suffit car il n’y avait pas grand chose à voir si ce n’est les vestiges d’une prestigieuse pépinière botanique. Malgré l’excuse du vendeur au guichet d’entrée me proposant un billet à moitié prix sous l’excuse que l’on était au début de la saison, le jardin d’eau « imitant celui de Monet » vanté par le guide s’est révélé d’une banalité déconcertante et sans comparaison possible avec celui de Monet à Giverny.

L’itinéraire de visite du dépliant, bien prétentieux, proposait un arrêt à l’espace pédagogique (il était fermé), à la grotte et sa cascade ( en béton), à la gloriette qui surplombe le lac ( quelconque !), à l’atelier pour la préparation des plantes à expédier (il était fermé), sur le pont japonais rappelant Giverny ( seule la couleur nous le rappelle !), à la serre exotique avec ses nénuphars tropicaux (elle était vide et fermée !). Le musée (minuscule) expose une reproduction d'une commande de plantes de Monet (très interessant!)

Autour du lac, quelques iris, quelques rhododendrons  et quelques saxifrages en pots plantées à la va-vite ( on voyait les pots en plastique dépasser). Dans le lac, quelques carpes koi que l’on voyait s’agiter au loin. Autour des bassins, des alignements de terrines à multiplication vides, créant une animation insolite. La visite est terminée !


Quant à la pépinière...il n’y a rien à acheter si ce n’est quelques godets d’iris, de la menthe et autres plantes des plus communes.

Les nénuphars??? Nous étions en début de saison. Le visiteur fera preuve de compréhension et c’est normal.

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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 09:22

C’est un jardin comme je les aime : foisonnant, généreux, coloré, lumineux.

Il est préférable d’arriver de bonne heure. Coucher sur place est la meilleure des solutions. Le village est charmant.

C’est un jardin intimiste et paradoxalement, des centaines de visiteurs y affluent chaque jour. Les japonais en particulier affectionnent le lieu. Claude Monet était collectionneur d’estampes japonaises. Celles-ci sont toujours exposées dans sa maison.

 

L’heure matinale donc, est très importante, non seulement pour pouvoir apprécier, sans être géné, les perspectives sur les chemins fleuris et la maison mais aussi pour profiter de la quiétude du lieu et de l’enchantement qu’il procure. Peut-être aussi pour mieux imaginer et revivre ce qui a tant inspiré Monet lorsque, à partir de son installation dans la maison en 1883, il s’est lançé avec frénésie dans l’aménagement et la plantation de ce jardin qui allait devenir sa principale source d’inspiration

Monet restait des heures au bord de son étang à admirer et essayer de capturer sur la toile les jeux de lumière sur ses nymphéas et la magie du lieu.

« Je poursuis un rêve. Je veux l’impossible. Les autres peintres peignent un pont, une maison, un bateau... et ils ont fini. Je veux peindre l’air dans lequel se trouve le pont, la maison, le bateau. La beauté de l’air où ils sont, et ce n’est rien d’autre que l’impossible. »




























( Bibliographie : « Monet, le jardinier impressionniste » par Caroline Holmes, Ed. Gründ)

 

 

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8 mars 2008 6 08 /03 /mars /2008 14:49

 

Entre Londres et Brighton, dans le West Sussex anglais, les jardins de Nymans sont des jardins autrefois privés qui sont désormais sous la responsabilité de la National Trust , organisme qui gère le patrimoine national anglais.

 

Vous connaissez sans doute le magnolia « Léonard Messel » . La famille Messel est à l’origine de ce jardin hors du commun. Trois générations de cette famille se sont investies dans sa création. C’est à la mort de Léonard Messel en 1953 que le jardin fut donné à la National Trust.

 
DSC01605.JPG

 

 

Il y a quelque chose de magique dans ce jardin qui tient sans doute au fait qu’il s’agit d’un jardin familial donc à échelle humaine tout en étant de taille plus que respectable et à la présence de la maison dont les ruines envahies de végétation donnent au lieu un aspect des plus romantiques. Un incendie a en effet ravagé une partie de l’édifice en 1947.

 

 Un dépliant permet de découvrir l’histoire de la famille Messel avec des photos de leur album de famille, ce qui  permet au visiteur de mieux comprendre  la personnalité de ce jardin et de rentrer dans son intimité.

DSC01622.JPG

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De toutes les mixed borders que j’ai vues dans les jardins anglais, celles de Nymans m’ont ... particulièrement impressionnée par leur gaieté ( couleurs vives et chaudes) et par leur perfection dans le contrôle des couleurs, hauteurs de plantes et par la prouesse que cela représente d’avoir les floraisons échelonnées ( aucun endroit ne donne jamais l’impression d’être défleuri). Pas une fleur fanée ne se laisse voir, pas une branche ne dépasse. Les plantes les plus hautes à l’arrière plan sont savamment guidées par un entrelas de branchages qui disparaît sous les feuillages et que l’on devine plus que l’on ne voit.

 

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Qui suis-je? Claude, professeur de l'E.N., jardinière le week-end. Je me suis lancée il y a 20 ans dans la création d'un jardin naturel à partir d'un grand champ labouré d'un hectare où il n'y avait pas grand chose mais l'essentiel: une vieille grange, 2 arbres centenaires, un ruisseau et une mare. Il y a 7 ans, j'ai fait construire ma maison dans mon petit paradis et je partage la vie des animaux qui y ont trouvé refuge.

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